Un journaliste Algérien atteint de Spina Bifida menacé d’expulsion de l’hôpital de Strasbourg
Hospitalisé depuis plus d’un mois à Strasbourg, le jeune journaliste Tarek El Yahiaoui, originaire de Mostaganem, est en phase d’expulsion de l’hôpital strasbourgeois où il a été admis en urgence. Atteint de Spina Bifida, lui-même président de l’association algérienne éponyme, il s’est retrouvé en grande difficulté alors qu’il se rendait à un congrès où il était invité. Muni d’un visa et d’une assurance voyage, il a été admis en urgence absolue. Après plusieurs semaines de prise en charge au niveau de l’hôpital alsacien, la direction de ce dernier l’aurait menacé d’expulsion s’il ne signait pas un engagement de régler une somme que certaines sources évaluent à 40.000 euros. Il s’agit certainement des frais d’hospitalisation ainsi que des honoraires engendrés par une éventuelle opération. Dans son cas, ce serait une opération lourde et certainement onéreuse qu’il n’est pas capable de financer. Il s’avère que la fameuse assurance voyage exigée pour la délivrance d’un visa ne couvre pas ce type d’intervention. Appelé au téléphone, Tarek est dans une situation des plus critiques. Ses collègues et amis de Mostaganem sont désemparés et ne peuvent rien faire sinon alerter les autorités Algériennes et Françaises, ainsi que »Médecins sans frontières » et les associations caritatives afin qu’elles se mobilisent pour trouver une solution à ce jeune homme au courage exemplaire. Selon nos sources, il risque d’être jeté à la rue dès ce lundi 17 décembre, soit 2 jours avant la visite d’Etat du président François Hollande en Algérie. Ceux qui lui ont parlé au téléphone soulignent l’état d’abattement dans lequel il se trouve.
Hospitalisé depuis plus d’un mois à Strasbourg, le jeune journaliste Tarek El Yahiaoui, originaire de Mostaganem, est en phase d’expulsion de l’hôpital strasbourgeois où il a été admis en urgence. Atteint de Spina Bifida, lui-même président de l’association algérienne éponyme, il s’est retrouvé en grande difficulté alors qu’il se rendait à un congrès où il était invité. Muni d’un visa et d’une assurance voyage, il a été admis en urgence absolue. Après plusieurs semaines de prise en charge au niveau de l’hôpital alsacien, la direction de ce dernier l’aurait menacé d’expulsion s’il ne signait pas un engagement de régler une somme que certaines sources évaluent à 40.000 euros. Il s’agit certainement des frais d’hospitalisation ainsi que des honoraires engendrés par une éventuelle opération. Dans son cas, ce serait une opération lourde et certainement onéreuse qu’il n’est pas capable de financer. Il s’avère que la fameuse assurance voyage exigée pour la délivrance d’un visa ne couvre pas ce type d’intervention. Appelé au téléphone, Tarek est dans une situation des plus critiques. Ses collègues et amis de Mostaganem sont désemparés et ne peuvent rien faire sinon alerter les autorités Algériennes et Françaises, ainsi que »Médecins sans frontières » et les associations caritatives afin qu’elles se mobilisent pour trouver une solution à ce jeune homme au courage exemplaire. Selon nos sources, il risque d’être jeté à la rue dès ce lundi 17 décembre, soit 2 jours avant la visite d’Etat du président François Hollande en Algérie. Ceux qui lui ont parlé au téléphone soulignent l’état d’abattement dans lequel il se trouve.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire